Pendant que les chérubins hystériques mouillent sur la sortie du Carti, je m’en vais découvrir ce nouvel album du plus laidback des Hot Boyz avec le panache inchangé de la grande époque de Cash Money
Bon je m’abstiendrais d’épiloguer des lignes durant pour louer toute la dextérité lyricale de Souffrance qui est évidement toujours aussi étincelante dans cette dernière cuvée (grosses mentions pour le son avec Jewel Usain, Puissance en Bars et King Size quand même)… non tout ça on y ...
Tout pareil, inconcevable d’y prêter une écoute longue de 30 titres, j’imagine même pas le supplice. Par contre je peux déjà dire que sur Good Credit, Kendrick est venu pour abattre
Bon ça a l’air quand même vachement plus intéressant que ses deux précédents albums hormis deux, trois fautes de goûts musicales présumées sur le milieu du projet. RIP à sa daronne aussi, les morceaux qui lui seront consacrés ont l’air intenses
Je cautionne et je ressens également le spectre d’E-40 ou Too $hort qui plane au dessus de ses placements. Bien évidemment il y a de nombreux points à parfaire à force de sorties, mais les fondations sont solides et peuvent amener de belles choses pour la suite
Effectivement aucune des productions citées ici n’est à l’abri de quelques erreurs de goûts ou d’imperfection de style mais c’est aussi ce qui fait leur force et leur caractère je trouve, le côté borderline trés crasseux et instinctif propulse le propos et l’incarnation du...
Il a un delivery chaloupé, à forte influence L.A./Oakland qui fait effectivement écho aux franglais canadiens dans la déstructuration des mesures et des rythmiques lyricales, d’où l’autoproclamation d’Off Beat Goat. Autrement non c’est bien un produit français, originaire du 93....
Dingue, je découvre ce nouvel arrivant dans le Game et je suis en train de prendre ma petite gifle : prestance, flow, influences californiennes ostentatoires, imagerie soignée… tout me parle et ça a le mérite d’être fait en totale indépendance pour le moment