Ouèp La nuit nous appartient c'est le premier film que j'ai matté de lui, puis The Yards quelques années après, tous deux énormissimes. Le seul mauvais film de ce réal de ceux que je connais à mon sens c'est Ad Astra
Little Odessa : Dans la foulée du précédent film, j'ai voulu rattraper mon retard sur les réalisations de James Gray, et je me suis donc penché sur ce premier film du réalisateur pour lequel je n'avais entendu que des bruits de couloir quant à sa qualité manifeste. Et c'est carrément un très bon...
J'ai regardé plusieurs pétites ces derniers temps, que j'avais laissé de côté depuis un moment ou que j'ai découvert sur le tard.
Relic : Film "horrifique d'auteur" comme j'aime à le dénominer, rappellant légèrement Hérédité dans sa thématique, mais qui s'en éloigne complètement dans son traitement ...
Et j'ai jamais prétendu que la question de Yerim était enclin au respect, et c'est cette incompréhension qui je pense fait défaut à votre perception de mon analyse de cette situation.
Je ne prend même pas parti dans cet antagonisme, mais la manière dont Yerim fait preuve d'abnégation, même si le...
Ouais ouais je connais Nardwuar bien vu
Manquer de respect envers la femme de quelqu'un tu trouves ça objectivement et moralement, du même ressort qu'une bouffonerie habile et roublarde, certes très provocante, mais non moins astucieuse et intelligemment formulée ? vraiment ?
Je crois que vous...
Pour Rohff il n'a pas seulement raillé son manque de connaissance sur les Migos, il est resté très sarcastique tout du long de ses interventions avec lui, mais je ne retrouve pas l'interview entière ensemble pour te rappeler les quelques passages interessants. Mais comme je l'ai dit, ça restait...
Ouais ou c'est vous qui intellectualisez pas assez, question de perspective
C'est un échange qui n'a pas pour but de déterminer une vérité immuable de toute façon, c'est une affaire de ressenti et de réceptivité sur le plan de l'émotion. Moi je crois juste que la réaction de Maes, connote un réel...
"On récolte ce que l'on sème" synthétiserait bien la situation à laquelle a été confrontée Maes, il aura suffit d'un seul journaliste subversif et un peu borderline pour faire ressortir les bruits de couloir à la surface, pour voir Maes réagir aussi farouchement parce qu'atteint dans son amour...
Même si le sens est le même, Yerim n'a pas employé l'injure frontale de "pute", car oui dans une dimension journalistique rien n'est à laisser au hasard. L'exemption de cette vulgarité chez Yerim donne par ailleurs toute la subtilité à la formulation de sa question. C'est dans la droite lignée de...